Iscriviti a:
Commenti sul post (Atom)
skip to main |
skip to sidebar
scarletime@gmail.com
arte e dintorni
my favourite films
- Existenz - Cronemberg
- Sogni - Akira Kurosawa
- C'era una volta in America - Sergio Leone
- Magdalene - Peter Mullan
- la meglio gioventù - Marco Tullio Giordana
- Il pianista - Roman Polanski
- Missing - Costa Gavras
- The wall - Alan Parker
- Big Fish - Tim Burton
- Le ali della libertà - Frank Darabont
- Dancer in the Dark - Lars Von Trier
- Dogville - Lars Von Trier
- Smoke - Wayne Wang
- Mullholland drive - David Linch
- A snake of june - Shinya Tsukamoto
- Ferro 3 (la casa vuota) - Kim Ki-Duk
my favourite things
- elianto - Stefano Benni
- henry & june - Anaïs Nin
- il dolore - Marguerite Duras
- storia della boxe - Philonenko
- il silmarillon - Tolkien
- cent'anni di solitudine - Marquez
- Teogonia - Esiodo
- ali - Yukio Mishima
- la donna abitata - Gioconda Belli
- le notti bianche - Dostoevskij
- palmer eldtrich - Philip Dick
Archivio blog
4 commenti:
...out in the wind-oh...
great, inspired, emotional...
sad
l.u.
..la strada è tracciata, vai avanti così, brava!!!!
Il y a peut-être les mots pour ta nouvelle chanson: peut elle être en français?
rien que de mots
Oui, je voudrais te regarder
sans te surveiller
peut-il y avoir une façon?
Je voudrais t’accompagner
sans que mes pas
fassent l’écho de les tiennes
Oui, j’aimerais te dire
rien que de mots
qui dépeignent une mélodie
Comme si je fusse l’air de tes jours,
je voudrais brûler avec ta passion
et caresser ton repos
Voler à la nuit le sourire de la lune
pour l’étendre sur ta bouche
avec le souffle de mes lèvres
Oui, je voudrais t’appeler
pour savourer tous les fois
l’intensité de ton nom
Et suivre la danse de tes pensées
bercé par le soin
de ta voix qui m’enchante
Oui, je voudrais ne t’aimer pas
pour tuer la chance
de souffrir ta distance
Mais comme l’air de mes jours
je te rencontre à chaque souffle...
Pourrais je jamais être
Comme le soleil qui peut te baiser
ou comme la nuit qui peut t’embrasser
sans la menace de la vide?
Parmi les innombrables yeux
du jour qui s’endort
le désir se joint au rêve...
l.u.
Posta un commento